Lundi 8 septembre, François Bayrou, premier ministre, a engagé son gouvernement lors d'un vote de confiance. Sans surprise, 364 députés ont voté contre et 194 pour; entrainant la chute du gouvernement.
Emmanuel Macron a annoncé qu'il nommerait très rapidement un nouveau premier ministre et la France bascule dans un nouvel épisode d'instabilité politique.
Cette situation est une réplique du contexte de septembre dernier où le gouvernement Barnier avait été renversé, plongeant l’exécutif dans une période de flottement. Pour autant, les conséquences économiques de ces secousses politiques semblent, jusqu’ici, largement contenues — notamment sur le marché immobilier.
Alors, faut-il y voir une opportunité d’investissement ou un signal d’alarme ?
Si l’on se réfère à l’année passée, le renversement du gouvernement Barnier n’a pas eu d’impact significatif sur les prix de l’immobilier. En Île-de-France comme dans les grandes métropoles régionales, les prix ont légèrement fluctué mais sont restés globalement stables.
Pourquoi ? Tout simplement parce que l’immobilier reste un actif tangible, souvent perçu comme une valeur refuge en période de turbulences politiques.
De plus, les fondamentaux économiques — inflation maîtrisée, taux d’intérêt désormais stabilisés, demande locative forte — continuent de soutenir le marché, en particulier dans le locatif. Les loyers ne s’interrompent pas (et heureusement) au rythme des votes parlementaires.
Lors d'une période d’incertitude politique, les investisseurs demandent plus de rendement → les taux d’emprunt de l’État augmentent (OAT 10 ans).
Les banques peuvent ensuite ajuster leurs taux immobiliers en conséquence.
👉 Un crédit immobilier peut donc coûter potentiellement plus cher et impacter la rentabilité nette de votre projet.
Il existe également un risque de déstabilisation réglementaire (fiscalité, logement, encadrement) : un nouveau gouvernement pourrait modifier certains dispositifs fiscaux (ex : abattements, LMNP, encadrement des loyers…).
Même si ces réformes sont rares en rétroactivité, elles peuvent rendre certaines stratégies moins rentables.
Quand l’incertitude augmente, certains acheteurs se mettent en pause. Les investisseurs plus confirmés vont pouvoir négocier davantage, profiter de prix plus stables, voire accéder à des biens attractifs avec moins de tension sur les offres.
Investir dans un bien avec une demande locative forte, une bonne rentabilité et une gestion rigoureuse reste un investissement sûr. L’instabilité politique n’a pas d’impact direct sur les loyers. L’immobilier reste un actif tangible, résilient, souvent perçu comme un refuge dans les périodes chahutées.
Des stratégies plus “défensives” comme le bien déjà loué Des acteurs comme Trackstone proposent des biens déjà loués, avec rendement connu, qui permettent de :
Neutraliser le risque de vacance.
Éviter les surcoûts imprévus (travaux, mise en location).
Percevoir un revenu locatif immédiat, même si le climat politique se tend.
Investir sans frais, avec une vérification complète.
En misant sur des biens déjà loués, l’investisseur anticipe et neutralise bon nombre de risques inhérents à l’investissement immobilier : vacance, imprévus administratifs, travaux, incertitude sur le loyer réel… Dans un contexte politique fébrile, ce type de produit rassure et sécurise la rentabilité.
Oui, le climat politique français est incertain. Mais non, cela ne signifie pas que le moment est mal choisi pour investir dans l’immobilier locatif — bien au contraire. Dans les périodes de doute, les placements tangibles, transparents et immédiatement rentables gagnent en attractivité.
C’est précisément ce que propose Trackstone, en alliant technologie, expertise et rigueur dans la sélection de ses biens.