Le 8 septembre prochain, François Bayrou, président du MoDem et actuel ministre d’État, a prévu d’engager un vote de confiance au gouvernement. Un pari risqué, à l’issue incertaine, en effet, un renversement du gouvernement est non seulement possible, mais probable.
Ce nouvel épisode d’instabilité politique rappelle le contexte de septembre dernier, où le gouvernement Barnier avait été renversé, plongeant l’exécutif dans une période de flottement. Pour autant, les conséquences économiques de ces secousses politiques semblent, jusqu’ici, largement contenues — notamment sur le marché immobilier.
Alors, faut-il y voir une opportunité d’investissement ou un signal d’alarme ?
Si l’on se réfère à l’année passée, le renversement du gouvernement Barnier n’a pas eu d’impact significatif sur les prix de l’immobilier. En Île-de-France comme dans les grandes métropoles régionales, les prix ont légèrement fluctué mais sont restés globalement stables.
Pourquoi ? Tout simplement parce que l’immobilier reste un actif tangible, souvent perçu comme une valeur refuge en période de turbulences politiques.
De plus, les fondamentaux économiques — inflation maîtrisée, taux d’intérêt désormais stabilisés, demande locative forte — continuent de soutenir le marché, en particulier dans le locatif. Les loyers ne s’interrompent pas (et heureusement) au rythme des votes parlementaires.
Investir dans l’immobilier locatif, c’est s’assurer une rente régulière dans un contexte de forte demande, notamment dans les zones tendues. C’est aussi profiter d’un actif potentiellement valorisable à long terme. Même en cas de changement de majorité ou de gouvernement, les dispositifs fiscaux majeurs (comme le régime LMNP, les abattements fonciers, etc.) sont rarement modifiés de façon rétroactive.
En revanche, une période de crise politique peut ralentir les processus décisionnels (urbanisme, permis de construire, réforme du logement), ce qui freine la construction neuve et renforce, par ricochet, la valeur des biens existants.
Pour les investisseurs soucieux de limiter leur exposition au risque, notamment en période d’incertitude, investir dans un bien déjà loué prend tout son sens.
En misant sur des biens déjà loués, l’investisseur anticipe et neutralise bon nombre de risques inhérents à l’investissement immobilier : vacance, imprévus administratifs, travaux, incertitude sur le loyer réel… Dans un contexte politique fébrile, ce type de produit rassure et sécurise la rentabilité.
Oui, le climat politique français est incertain. Oui, un changement de gouvernement semble probable. Mais non, cela ne signifie pas que le moment est mal choisi pour investir dans l’immobilier locatif — bien au contraire. Dans les périodes de doute, les placements tangibles, transparents et immédiatement rentables gagnent en attractivité.
C’est précisément ce que propose Trackstone, en alliant technologie, expertise et rigueur dans la sélection de ses biens.